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Le pouvoir de lʼagro industrie ivoirienne

Le pouvoir de lʼagro industrie ivoirienne

Pilier de lʼéconomie ivoirienne, le secteur agricole est aujourdʼhui encore plus quʼhier, une source importante du développement économique et dʼintégration sociale en Côte dʼIvoire. La capacité de notre secteur agricole à transformer sa production de façon industrielle et à la commercialiser sur les marchés est un enjeu sur lesquels les acteurs gouvernements et internationaux investissent des sommes importantes.

Déjà dans les années 60, tout avait été mis en place par le père fondateur FHB, afin de permettre à cette génération émergente de producteurs « planteurs » de posséder à travers un savoir-faire durable les bases dʼune agriculture riche et faire de notre pays une économie prospère.

En effet, la Côte d’ivoire est un des seuls pays de la sous-région a avoir bénéficié dʼun encadrement structurel à travers des organismes tels que lʼANADER, le CRNA, lʼORSTOM et aidé ses agricultures à acquérir les compétences techniques clés pour développer leurs exploitations axées à lʼorigine sur le café et le cacao.

De nos jours, les producteurs ivoiriens possèdent grâce à cet encadrement, un savoir-faire certain dans ces filières. Le gouvernement travaille à renforcer les connaissances et savoir-faire des producteurs dans d’autres filières. Les nouvelles structures d’accompagnement telles que le FIRCA, les nouveaux organismes de développement et certaines ONG, apportent non seulement un appui technique mais financier aux producteurs pour renforcer leur compétitivité sur le plan national et international à travers la création de chaines de valeur.

Pour nos agriculteurs ivoiriens, la création de chaines de valeur consiste à apporter une qualité supplémentaire à leur production. Il sʼagira de maitriser les sources d’approvisionnement des produits, de contrôler leur qualité par le respect des normes de production internationale, de favoriser la transformation artisanale et industrielle des produits locaux en y intégrant des
notions de packaging et dʼemballage.

Lʼobjectif final est de rendre nos productions locales plus attractives et ainsi mieux les positionner auprès des marchés internationaux et du consommateur final. Les productions plus communément concernées sont l’anacarde, l’hévéa, la café, le cacao, le riz, le palmier à huile, le vivrier, les fruits tels que la mangue, l’ananas, la banane.

Orane Magne
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